Отборочный материал
Старый холостяк или мысли вслух
Даря09 Февраль
Вечер, я бреду по улице не спеша,
Один, ежась от обжигающего ветра.
Мне продали щенка два алкаша.
Несу щенка в старой шляпе из фетра.
Тоска, дома меня никто не ждет.
…
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Один, ежась от обжигающего ветра.
Мне продали щенка два алкаша.
Несу щенка в старой шляпе из фетра.
Тоска, дома меня никто не ждет.
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Автор музыки: Музыки пока нет
Автор текста: Аркадий Доляр
- Polina
- 09 февраля 2024, 23:41
- +1
Аркадий, это картинка в стихах — она вряд ли подойдёт для песни в альбом какого-то исполнителя. Но как часть музыкального спектакля возможно да. Конечно образ нарисовался и отпечатался в душе. (Не ставлю оценок)
- Даря
- 10 февраля 2024, 04:45
- 0
Представьте на минуту, что этот текст вольный перевод с французского, как бы это зазвучало.
Vieux célibataire ou des pensées à haute voix
Le soir, je délire dans la rue lentement,
Un, je me hérisse du vent brûlant.
Deux ivrognes m'ont vendu un chiot.
Je porte un chiot avec un vieux chapeau en feutre.
Tosca, personne ne m'attend à la maison.
Quel vent froid, la main gèle.
Aller au café, prendre un sandwich,
Organiser un festin pour vous-même et pour le chiot?
Qui sait ce qu'ils nourrissent les chiens,
Je n'y ai jamais pensé.
Oui, j'ai survécu à l'esprit, tout à fait un imbécile,
Ce n'est pas pour rien qu'ils disent, les vieux, comme les enfants.
Non, rêver d'autre chose, —
Sur le confort de la maison, enfin se marier.
Pour moi, comme un célibataire, la disposition est familière, —
Que de se marier, il vaut mieux réussir immédiatement.
Pour être honnête, qui a besoin de moi, —
Le salaire est petit, et pas Apollo,
Patly à la taille, toujours froid,
L'appartement est petit, la cuisinière, oui le téléphone.
Le soir, je délire dans la rue lentement,
Un, je me hérisse du vent brûlant.
Deux ivrognes m'ont vendu un chiot.
Je porte un chiot avec un vieux chapeau en feutre.
Vieux célibataire ou des pensées à haute voix
Le soir, je délire dans la rue lentement,
Un, je me hérisse du vent brûlant.
Deux ivrognes m'ont vendu un chiot.
Je porte un chiot avec un vieux chapeau en feutre.
Tosca, personne ne m'attend à la maison.
Quel vent froid, la main gèle.
Aller au café, prendre un sandwich,
Organiser un festin pour vous-même et pour le chiot?
Qui sait ce qu'ils nourrissent les chiens,
Je n'y ai jamais pensé.
Oui, j'ai survécu à l'esprit, tout à fait un imbécile,
Ce n'est pas pour rien qu'ils disent, les vieux, comme les enfants.
Non, rêver d'autre chose, —
Sur le confort de la maison, enfin se marier.
Pour moi, comme un célibataire, la disposition est familière, —
Que de se marier, il vaut mieux réussir immédiatement.
Pour être honnête, qui a besoin de moi, —
Le salaire est petit, et pas Apollo,
Patly à la taille, toujours froid,
L'appartement est petit, la cuisinière, oui le téléphone.
Le soir, je délire dans la rue lentement,
Un, je me hérisse du vent brûlant.
Deux ivrognes m'ont vendu un chiot.
Je porte un chiot avec un vieux chapeau en feutre.
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